Soumettre un article
Protocole de publication
Les collaboratrices sont priées de noter que Recherches féministes est une revue francophone et qu’un texte qui lui est proposé doit être rédigé en français. Les auteures et auteurs sont aussi priés de respecter le protocole qui suit.
- Les textes présentés à la revue doivent être, dans la mesure du possible, féminisés et utiliser un style d’écriture épicène. Un article doit totaliser 6 500 mots incluant le titre, le nom de l’auteure, les notes de bas de page et les références.
- Inscrire sur la première page, en haut et à gauche, nom et adresse; au centre, le titre de l’article.
- Dorénavant, nous ne recevons plus les soumissions d’articles par courriel, mais via notre nouveau système OJS. Aussi, nous vous invitons à nous transmettre votre soumission sur la page suivante : Soumettre un article.
- Tableaux et graphiques doivent être insérés dans le corps du texte en respectant les marges.
- Placer les références dans le texte en indiquant entre parenthèses le nom de famille de l’auteure ou de l’auteur, l’année de publication et la page, comme dans les exemples suivants : (Lavoie 1986 : 125), (Charbit et Léridon 1987 : 255). Une référence suit immédiatement, après les guillemets et avant toute ponctuation, la citation ou le mot auquel elle se rapporte.
- Il n’y a pas de guillemets avant ni après une citation détachée du texte. Mettre entre crochets […] les lettres et les mots ajoutés ou changés dans une citation, de même que les points de suspension indiquant la coupure d’un passage.
- La liste complète des références, classées par ordre alphabétique des noms d’auteures et d’auteurs, est présentée à interligne double à la fin du document. Écrire en italique le titre des livres, revues et journaux, mais mettre entre guillemets (sans les souligner) les titres d’articles et de chapitres de livres en s’inspirant des exemples fournis dans le document pdf ci-dessous.
- Recherches féministes se conforme à la typographie de la langue française : – un seul espace entre chaque mot et après le point et le deux points; – un espace avant le deux points et le %, mais non avant le point virgule, le point d’interrogation et le point d’exclamation; – comme dans cet exemple : « un espace après avoir ouvert les guillemets et un espace avant de les fermer ».
NOTA BENE
La revue se réserve le droit d’accepter ou de refuser tout article qui lui est proposé. Il est souhaitable de conserver un double de l’article soumis. La revue n’est pas responsable des délais de publication des textes. Les articles et autres textes publiés n’engagent que la responsabilité de leur auteure ou auteur.
Mots-clés
Nous vous invitons également à consulter la liste de mots-clés, afin que vous puissiez choisir ceux qui conviennent pour votre article.
Pour obtenir plus d’informations, consulter un des documents suivants (format PDF) :
- Si vous désirez publier un article : Protocole de rédaction pour un article.
- Si vous désirez publier un compte rendu : Protocole de rédaction pour un compte rendu.
Si vous ne possédez pas le logiciel Acrobat Reader (permettant le visionnement des fichiers PDF), vous pouvez le télécharger gratuitement sur le site de Adobe à l’adresse : https://www.adobe.com/.
Féminisation et rédaction épicène - Vitrine linguistique
Office québécois de la langue française : Féminisation et rédaction épicène | Banque de dépannage linguistique (gouv.qc.ca)
Processus d’évaluation par les pairs
Le processus d’évaluation, qui s’appuie sur des règles de bonnes pratiques éditoriales et sur l’éthique (Guide de pratiques éditoriales et éthique), repose sur le partage du travail entre la direction de la revue et les personnes membres du comité de rédaction, ces dernières contribuant activement au processus comme responsables d’articles. Le processus d’évaluation s’effectue en double aveugle et de manière anonyme dans la plateforme OJS de la revue.
Le processus d’évaluation commence quand un texte proposé est jugé conforme à la mission de Recherches féministes (RF) lors de la pré-évaluation par les membres du comité de rédaction. Ce texte est ensuite attribué à une responsable d’article, avec une liste de personnes évaluatrices potentielles. Ces dernières sont choisies pour leur expertise dans le domaine de l’article et se distinguent par leur compétence en matière d’évaluation de manuscrits; spécialistes chevronnées au Canada ou ailleurs, elles sont repérées dans la liste de RF, dans le Répertoire expert@ du RéQEF, ou suggérées par le comité de rédaction ou par les coordonnatrices du numéro. Leur travail est soutenu par le Guide de pratiques éditoriales et éthique et le Protocole de rédaction des articles de RF (s'il s'agit d'un compte rendu, voir le protocole de rédaction à cet effet).
L’article anonymisé est transmis via la plateforme OJS aux personnes évaluatrices, qui doivent remplir le formulaire d’évaluation et l’accompagner d’un jugement d’ensemble, de commentaires, et possiblement du texte annoté de l’article. Les personnes évaluatrices disposent d’un mois pour réaliser l’évaluation. Lorsque les évaluations sont contradictoires, une autre évaluation est sollicitée.
La responsable d’article rédige ensuite une synthèse des évaluations que la direction transmet à l’autrice ou à l’auteur, après l’avoir anonymisée, accompagnée des commentaires et des textes annotés. Le résultat global peut être : Accepter la soumission, Révisions requises, Soumettre à nouveau pour évaluation, Soumettre à nouveau ailleurs, Refuser la soumission. Le cas échéant, les personnes évaluatrices précisent si le jugement Révisions requises mène à des révisions mineures ou majeures. Le jugement Soumettre à nouveau pour évaluation mène généralement à un 2e cycle d’évaluation.
L’autrice ou l’auteur a un mois pour préparer une nouvelle version, examinée alors par la responsable de l’article, qui vérifie que toutes les améliorations exigées sont présentes, ou que, le cas échéant, les refus de correction sont justifiés de manière scientifique et satisfaisante. Si la responsable d’article juge la révision insuffisante, la direction de la revue refuse le manuscrit ou exige, s’il s’agit de corrections mineures, une nouvelle révision.
Le comité de rédaction examine régulièrement le processus d’évaluation afin d’assurer la qualité et la pertinence des articles publiés dans la revue.
Guide de pratiques éditoriales et éthique[1]
La revue Recherches féministes fait appel à des personnes évaluatrices chevronnées et applique une procédure d’évaluation par les pairs pour tous les manuscrits qu’elle reçoit. L’évaluation par les pairs joue un rôle important pour garantir l’intégrité du processus scientifique. Elle est basée sur la confiance mutuelle et un comportement responsable de la part de toutes les personnes impliquées.
La responsabilité de l’évaluation d’un manuscrit relève du comité de rédaction de la revue. L’évaluation est partagée entre les membres du comité de rédaction, qui agissent comme responsables de l’évaluation d’articles (responsables d’articles), et les personnes évaluatrices. Ces dernières sont des chercheuses et chercheurs chevronnés, reconnus au sein de la communauté scientifique internationale et spécialistes du domaine de l’article. Le choix de ces spécialistes relève de la responsabilité des membres du comité de rédaction, qui peuvent bénéficier du soutien des coordonnatrices de numéros pour les articles thématiques.
L’évaluation respecte un anonymat complet. Ainsi, le nom de l’autrice ou de l’auteur du manuscrit n’est pas révélé aux personnes évaluatrices. De même, l’autrice ou l’auteur n’est pas informé du nom des personnes évaluatrices.
Voici les principes de base auxquels doivent adhérer les personnes évaluatrices et les membres du comité de rédaction :
- Évaluer seulement des manuscrits au sujet desquels elles possèdent l’expertise.
- Respecter l’échéance convenue.
- Respecter la confidentialité de l’examen par les pairs et ne révéler aucun détail d’un manuscrit ou de sa révision, pendant ou après le processus.
- Ne pas utiliser les informations obtenues au cours du processus d’évaluation par les pairs à leur propre avantage ni à celui de toute autre personne ou organisation, ni pour désavantager ou discréditer autrui.
- Déclarer tout conflit d’intérêts potentiel et demander conseil à la direction de la revue en cas d’incertitude. Les personnes évaluatrices et les membres du comité de rédaction exercent leurs fonctions en toute indépendance, sans promouvoir des intérêts ou des milieux particuliers. Les personnes évaluatrices ne peuvent participer au processus d’évaluation si elles sont en relation personnelle ou professionnelle avec l’autrice ou l’auteur d’un manuscrit.
- Ne pas laisser leurs critiques être influencées par la provenance d’un manuscrit, la nationalité, les croyances religieuses ou politiques, le sexe ou d’autres caractéristiques des autrices et auteurs, ni par des considérations commerciales.
- Être critiques tout en étant objectives et constructives, en évitant d’être hostiles ou d’inscrire des commentaires personnels désobligeants.
- Reconnaître que faire appel à une tierce personne pour réaliser l’évaluation à leur propre place est considéré comme une faute grave.
[1] Inspiré de : COPE Ethical Guidelines for Peer Reviewers : http://www.publicationethics.org.